Informaticien de profession
Il aime : En vacances, trouver un relai wifi ouvert. Il déteste : Les maladies, la guerre, la misère et avoir un caillou dans la chaussure.
Amateurs de Karaoké, un nouveau challenge vous attend. Il ne s’agit plus d’utiliser vos cordes vocales et un micro mais plutôt vos doigts et un clavier. Le site Typing Karaoke vous propose ce nouveau concept en mettant à disposition une liste de 10 musiques au choix. À vos marques, prêts, TAPEZ!!
"InMoov" est le premier robot humanoïde open-source à taille humaine que vous pouvez imprimer en 3D, animer et partager.
En zappant sur ma télévision, je suis tombé sur un reportage concernant la robotique et ses évolutions. Un projet présenté dans ce reportage a suscité tout particulièrement mon attention: “InMoov” un robot humanoïde. En entendant les mots robot humanoïde, on peut tout de suite penser à un robot comme ceux qu’on peut rencontrer dans les films de science-fiction. Je vous rassure, nous sommes encore très loin du T2000 de Terminator ou des robots dans I-Robot. Nous ne sommes peut-être qu’au début de l’ère humanoïde avec une intelligence très limitée et programmée.
En quoi le projet InMoov est-il différent des autres?
Tout simplement par le fait qu’InMoov est un projet totalement réalisé à l’aide d’outils open-source et en appliquant le concept du partage. En effet, InMoov est le premier robot humanoïde totalement développé sous le concept de l’open-source. Je connaissais le principe d’open-source surtout dans l’univers de l’informatique mais je n’avais jamais imaginé ce concept dans un projet de robots.
InMoov, by sharing knowledge, we build a positive future
Tout a débuté en 2012 avec l’acquisition d’une imprimante 3D par le sculpteur et designer français Gaël Langevin. Il travaillait à cette époque sur un projet de prothèse futuriste, mais qui finalement n’a pas été concluant. Ne voulant pas mettre de côté sa nouvelle acquisition, il décida d’utiliser son imprimante 3D pour imprimer une main et un avant-bras. Là où cela devient intéressant, c’est que Gaël Langevin, venant du monde open-source, prend la décision de mettre à disposition sur Internet les fichiers techniques de construction de la main sur le site communautaire de Thingiverse.
La main modélisée et imprimée, il fallait encore la motoriser. C’est donc grâce à la communauté open-source d’Arduino qu’il trouva un moyen de motoriser cette main. À partir de là, le projet fou de concevoir un robot humanoïde était né.
Le robot humanoïde a été conçu uniquement à partir de pièces n’étant pas plus grandes que 12cm3 et cela a pu permettre aux personnes possédant même une petite imprimante 3D de reproduire le robot.
Cela en fait un robot accessible à tous. Même si vous ne disposez pas d’une imprimante 3D, vous pouvez vous procurer les pièces nécessaires en les commandant sur le site InMoov.
Un “Finger Starter Kit” vous est proposé au prix de 34€. Celui-ci vous permettra de vous familiariser avec InMoov, le langage de programmation ainsi que la partie de motorisation. C’est un bon départ pour qui est intéressé à se lancer dans la construction de son propre InMoov.
Je vous laisse découvrir cette vidéo publiée par Gaël Langevin. D’autres vidéos sont également disponibles sur son site inMoov.fr.
Tesla Powerwall aspire à transformer totalement l’infrastructure énergétique mondiale.
La technologie évolue de façon rapide pour certaines personnes et lente pour d’autres. Néanmoins, elle n’arrête pas de m’étonner au fil du temps, surtout si on parle de santé ou d’énergie renouvelable.
Tesla, la société américaine plus connue pour ses voitures de luxe 100% électriques, a justement lancé un nouveau produit assez révolutionnaire : le Tesla Powerwall.
Le Tesla Powerwall a comme fonctionnalité d’emmagasiner de l’énergie produite par des panneaux solaires afin de la redistribuer dans le réseau électrique de la maison. Plutôt simple, non?!
Comment tout cela est-il possible?
En fait, il s’agit tout simplement d’une batterie lithium-ion rechargeable qui peut stocker jusqu’à 10kWh.
Vous allez me dire: “Ok, c’est bien, mais à quoi correspondent 10kWh dans notre quotidien?” Et vous avez raison! Ci-dessous, vous retrouvez la consommation classique des différents périphériques qu’on peut avoir chez soi.
Qu’en dites-vous ? 10kWh ça semble plutôt pas mal! Sachez qu’il est également possible de cumuler plusieurs Powerwall afin d’augmenter sa capacité d’emmagasinement.
Et l’esthétisme?
Vous pouvez penser que cela est trop beau pour être vrai et qu’il doit forcément y avoir un bémol au niveau esthétisme. Pas du tout, le Powerwall possède un design assez moderne et attractif avec des dimensions raisonnables (1,3 m en hauteur et 86 cm de largeur et 18 cm de profondeur), de plus en fixation murale.
Quels avantages apportent un tel produit?
– Réduit les frais de votre facture électrique, surtout si on délivre l’énergie pendant les heures pleines oú le coût de l’électricité est le plus élevé
– Reprend la relève en cas de coupure de courant
– Production d’énergie verte
La commercialisation du Tesla Powerwall devrait débuter en Europe courant 2016. Le produit est d’ores-et-déjà disponible en précommande sur le site officiel de Tesla pour la modique somme de 3500 US$ (+/- 3000 €).
Quel est le but visé par le CEO de Tesla? Elon Musk, CEO de Tesla, affirme le suivant :
Notre but est de transformer totalement l’infrastructure énergétique mondiale pour la rendre totalement durable et sans produire d’émissions de carbone.
Est-ce que le Powerwall représente une ménace pour les entreprises de production d’électricité? Au jour d’aujourd’hui, je dirais que non. Il est beaucoup trop tôt pour en tirer des conclusions hâtives.
Néanmoins, cette technologie reste prometteuse et qui sait, d’ici quelques années, si elle ne fera pas partie intégrante de nos maisons.
Je vous laisse découvrir la présentation officielle du Tesla Powerwall.
C'est reparti, une suite est finalement prévue pour Dragon Ball!
Si, comme moi, vous avez grandi dans les années 90, vous n’avez pas pu passer à côté du manga au succès mondial, Dragon Ball, Dragon Ball Z et Dragon Ball GT.
Découvert en France grâce au Club Dorothée, cela fait 18 ans qu’on attendait la suite. Les fans n’ont jamais arrêté d’y croire et pour preuve, il y en a même qui ont créé leur propre suite non officielle. Dragon Ball Absalon en est un exemple parmi tant d’autres. Je vous laisse le soin de le découvrir sur ce lien et de vous faire votre propre idée.
Finalement l’attente aura été longue mais à partir de juillet 2015, la nouvelle suite intitulée “Dragon Ball Super” fera son apparition sur la chaîne japonaise Fuji TV tous les dimanches à 9h.
Toujours produite par Toi Animation, cette nouvelle saga se déroulera après Dragon Ball Z et les 2 films qui sont sortis depuis, “Battle of Gods” en 2014 et “La Résurrection de Freezer” en 2015. L’histoire de Dragon Ball GT ne devrait pas rentrer en compte pour cette nouvelle histoire. Akira Toriyama, le créateur de la saga, sera de la partie et supervisera cette nouvelle histoire.
Plus d’informations ont été dévoilées sur le compte Twitter officiel de DBZ. On peut y lire l’annonce suivante:
“C’est en juillet que débutera la nouvelle série Dragon Ball Super basée sur une histoire d’Akira Toriyama. Après avoir rencontré le Dieu de la Destruction Beerus, réveillé d’un long sommeil, et après la Résurrection de Freezer, l’anciennement redouté Seigneur de l’Univers, un personnage encore plus mystérieux entrera en scène…”
Comme on pouvait s’y attendre, un nouvel ennemi fera son apparition. Il devrait bien évidemment être encore plus fort que les précédents et il faudra probablement s’attendre à une nouvelle transformation de Son Goku, voire même une nouvelle technique.
Aucune date officielle n’est disponible pour l’adaptation en Europe, mais les plus impatients pourront certainement retrouver les nouveaux épisodes sur la toile avec les différents sous-titrages dès leurs diffusions au Japon.
Les attentes sont donc énormes chez les fans nostalgiques… espérons qu’ils ne soient pas déçus.
"Musicless music video" ou le fait d'enlever la bande sonore d'un clip vidéo.
Aujourd’hui, je vous propose un focus sur le projet “Musicless music video” de Mario Wienerroither.
Mario Wienerroither a eu l’idée folle d’enlever la bande sonore des clips vidéo. Un projet a été créé autour de cette idée sous le nom: “Musicless music video”.
En quoi consiste ce projet? Comme son nom l’indique, il s’agit tout simplement d’enlever la bande sonore présente dans les clips vidéo en la remplaçant par des bruitages. Bien évidemment, ces bruitages restent en relation avec ce qu’on observe dans le clip vidéo. Ainsi, certains bruits comme des bruits d’aspirateur, grincement et bien d’autres, attirent l’attention et apporte un regard totalement diffèrent sur le clip vidéo original.
Vous vous demandez certainement: “mais où est l’intérêt de réaliser ce genre de vidéo?” La réponse est simple, pour divertir et amuser. Il n’empêche qu’au niveau artistique, le concept “Musicless music video” est intéressant et original.
Le plus simple est d’aller directement jeter un coup d’œil aux créations de Mario Wienerroither. Elles sont disponibles sur sa chaîne Youtube “The original Musicless music videos” à l’adresse : https://www.youtube.com/user/digitalofen
Mario Wienerroither n’est pas le seul à proposer ce genre de parodie. Moto2h ainsi que massbetelnut sont des acteurs actifs dans ce concept “Musicless music video”.
Il ne vous reste qu’à aller découvrir les différentes créations et qui sait … un jour ce sera peut-être la vôtre ;).
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